Avertissement : le billet qui suit contient un spoil relatif à UDC36 – partie II. Si vous ne l’avez pas encore lu, passez votre chemin, ou demeurez… à vos risques et périls. Par ailleurs, certains éléments concernant Bleach (anime et manga) sont également évoqués.
La seconde partie du chapitre 36 fait intervenir une notion très classique dans le récit d’aventure, à savoir le principe du test que doivent réussir les héros pour franchir une étape supplémentaire vers l’aboutissement de leur quête. En l’occurrence, pour avoir le droit d’affronter directement les Portes, le Sanctuaire doit passer une épreuve destinée à mettre en avant leurs motivations et les juger.
A cet effet, les chevaliers d’or ainsi que Rachel se retrouvent coincés dans un élément d’espace et de temps totalement dissocié de la réalité. Ledit élément peut être à première vue assimilable à une dimension parallèle mais l’absence de tout repère et de tout lien possible vers un autre monde, quel qu’il soit indique que ce n’est pas le cas. Reste alors – d’après Saga – l’hypothèse “illusion”, à laquelle certains de ses alter ego ont du mal à souscrire.
La difficulté majeure dans le cadre de la rédaction a relevé de la façon de transcrire le néant qu’est supposé représenter cet “espace”, tout en permettant aux personnages de côtoyer le Rien. Parce que, qui dit “Rien”, dit vraiment… Rien. De fait, il n’est matériellement pas envisageable qu’ils puissent s’y tenir, mouvoir ou s’exprimer. C’est d’ailleurs ce paradoxe qui confirme Saga dans ses réflexions, même s’il ne prend pas le risque de le démontrer.
Je savais ce que je voulais décrire et exprimer, sur la base de ce que je visualisais dans ma cervelle. Ceci dit, ce n’était pas si évident que cela en avait l’air. De fait, j’ai tenté de me raccrocher à certaines références connues, ou rencontrées au hasard de mes divers visionnages… et finalement, ce qui m’en a semblé le plus proche est un élément de Bleach.
Si on veut établir un parallèle grossier avec Saint Seiya, on peut dire que Bleach suit grosso modo la même organisation hiérarchique. Il y a les héros et leurs “aînés”, au nombre de 13 capitaines. Ceux-ci disposent de facultés particulières, et notamment de la possibilité de déclencher une attaque d’un niveau qu’ils se doivent de tous posséder, à savoir le niveau Bankai (le niveau de base étant le Shikai, commun à tous les shinigamis). L’un de ces 13 capitaines – Kaname Tosen, capitaine de la 9ème division – dispose d’un Bankai dénommé Enma Kôrogi.
La seconde partie du chapitre 36 fait intervenir une notion très classique dans le récit d’aventure, à savoir le principe du test que doivent réussir les héros pour franchir une étape supplémentaire vers l’aboutissement de leur quête. En l’occurrence, pour avoir le droit d’affronter directement les Portes, le Sanctuaire doit passer une épreuve destinée à mettre en avant leurs motivations et les juger.
A cet effet, les chevaliers d’or ainsi que Rachel se retrouvent coincés dans un élément d’espace et de temps totalement dissocié de la réalité. Ledit élément peut être à première vue assimilable à une dimension parallèle mais l’absence de tout repère et de tout lien possible vers un autre monde, quel qu’il soit indique que ce n’est pas le cas. Reste alors – d’après Saga – l’hypothèse “illusion”, à laquelle certains de ses alter ego ont du mal à souscrire.
La difficulté majeure dans le cadre de la rédaction a relevé de la façon de transcrire le néant qu’est supposé représenter cet “espace”, tout en permettant aux personnages de côtoyer le Rien. Parce que, qui dit “Rien”, dit vraiment… Rien. De fait, il n’est matériellement pas envisageable qu’ils puissent s’y tenir, mouvoir ou s’exprimer. C’est d’ailleurs ce paradoxe qui confirme Saga dans ses réflexions, même s’il ne prend pas le risque de le démontrer.
Je savais ce que je voulais décrire et exprimer, sur la base de ce que je visualisais dans ma cervelle. Ceci dit, ce n’était pas si évident que cela en avait l’air. De fait, j’ai tenté de me raccrocher à certaines références connues, ou rencontrées au hasard de mes divers visionnages… et finalement, ce qui m’en a semblé le plus proche est un élément de Bleach.
Si on veut établir un parallèle grossier avec Saint Seiya, on peut dire que Bleach suit grosso modo la même organisation hiérarchique. Il y a les héros et leurs “aînés”, au nombre de 13 capitaines. Ceux-ci disposent de facultés particulières, et notamment de la possibilité de déclencher une attaque d’un niveau qu’ils se doivent de tous posséder, à savoir le niveau Bankai (le niveau de base étant le Shikai, commun à tous les shinigamis). L’un de ces 13 capitaines – Kaname Tosen, capitaine de la 9ème division – dispose d’un Bankai dénommé Enma Kôrogi.
Cet arcane a la faculté d’enfermer l’adversaire dans un espace clos et entièrement obscur, au sein duquel il perd trois de ses sens classiques (l’ouïe, l’odorat et la vue), ainsi que l’ensemble de ses sens spirituels. De fait, l’opposant est totalement perdu, et n’est plus en mesure d’anticiper les mouvements de Tosen lequel est le seul à ne rien perdre de son aisance (tant qu’il tient Suzumushi, son zanpakuto (sabre)). La représentation de l’intérieur de l’espace est le noir absolu, l’adversaire est grisé, et semble parfaitement immobile, comme paralysé, ou dans le meilleur des cas terriblement ralenti dans ses mouvements, et de toute manière, à la merci de Tosen.
Bref, voilà l’élément qui m’a permis de décrire le plus précisément possible le test préalable devant les Portes, lequel a bien évidemment été enrichi par une référence (lointaine) à Œdipe et le Sphinx, pour le principe des questions-réponses.
Bref, voilà l’élément qui m’a permis de décrire le plus précisément possible le test préalable devant les Portes, lequel a bien évidemment été enrichi par une référence (lointaine) à Œdipe et le Sphinx, pour le principe des questions-réponses.
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