J’étais en train de réécouter pour la énième fois “None of us are free” de Solomon Burke – oui, le morceau évoqué dans le chapitre 33 – et décidément, à chaque fois, je suis fascinée par les paroles.
Pour la petite histoire, il faut savoir que c’est Tiya qui m’a mis dans les oreilles et sous les yeux ce morceau exceptionnel à l’occasion des commentaires dont elle m’a fait part concernant les chapitres antérieurs. Et ce, pile au moment où je broutais mon clavier en proie à l’angoisse de la conclusion du chapitre 33 qui persistait à me narguer et à m’échapper dès lors que je tentais de m’en approcher. En clair, pas moyen de la rédiger cette fichue conclusion.
Voici les paroles de ce titre :
Well you better listen my sisters and brothers,
'cause if you do you can hear
there are voices still calling across the years.
And they're all crying across the ocean,
and they're cryin across the land,
and they will till we all come to understand.
None of us are free.
None of us are free.
None of us are free, one of us are chained.
None of us are free.
And there are people still in darkness,
and they just can't see the light.
If you don't say it's wrong then that says it right.
We got try to feel for each other, let our brothers know that we care.
Got to get the message, send it out loud and clear.
(Chorus)
It's a simple truth we all need, just to hear and to see.
None of us are free, one of us is chained.
None of us are free.
now I swear your salvation isn't too hard too find,
None of us can find it on our own.
We've got to join together in spirit, heart and mind.
So that every soul who's suffering will know they're not alone.
(Chorus)
If you just look around you,
your gonna see what I say.
Cause the world is getting smaller each passing day.
Now it's time to start making changes,
and it's time for us all to realize,
that the truth is shining real bright right before our eyes.
(Chorus and Fade)
Et ce qui a fait tilt dans l’esprit de Tiya a trouvé un écho plus qu’attentif dans le mien en lisant ces mots, notamment ceux de l’avant dernier couplet. Bon sang, si j’étais un tant soit peu douée en song-fic, il y a une sacrée matière à creuser là-dedans… Disons que j’y ai retrouvé en grande partie ce que je tente de faire passer dans UDC, relativement à l’union plus ou moins forcée entre les divers protagonistes et à ses conséquences. Un tout plus grand que la somme des parties… je vous laisse juges.
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